Année 133 - Mai 2021En savoir plus
À mes yeux de mère
Lorenzo Brunazzo
Selon les vies des bienheureux qu’on racontait à mon époque comme exemples édifiants, les saints révélaient souvent leur lien particulier avec le Seigneur dès leur enfance. Moi, Marie, la mère d’Antoine que tout le monde appelle « le Saint », je peux affirmer de ne pas avoir vu de signes particuliers de sa gloire future quand il était enfant.
Il était simplement un petit curieux et très joueur : mon mari, le chevalier Martino di Alfonso et moi, nous étions comblés de joie à sa naissance. Nous étions des parents très jeunes et très orgueilleux que notre premier enfant soit un garçon. Cela était très important dans les familles de la noblesse comme la nôtre qui devaient offrir leurs services et leur fidélité au roi du Portugal, notre Seigneur...
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